2.10.07

un mardi d’avril

Il y a deux voies convergentes, une imaginative hors cadre et un brave garçon qui écrivit : Note de l’auteur : Non, c’est trop cucul.Et pourtant je ne parviens pas a saisir le style " Harlequin" Je ne peux pas aller plus loin. J’arrête. Excusez moi.
Et la réponse de Xian :
Si tu le permets, je vais m'y essayer en deux temps avec le même texte -avec le même scénario envoie-moi ou non le feu vert et si oui, disons ... pour lundi, non, mercredi semaine prochaine parce qu'il faut tout de même que je relise un passage ou deux du Veuzit ou similaire que je dois pouvoir dénicher dans le grenier ...


Le temps a passé et la porte du grenier est restée close. Alors, est revenue l’idée de l’écrivain et de l’amie lointaine, la lectrice inconnue ...
Et de se rappeler qu’il y avait eu une correspondante aux feues Éditions du Soleil ...



Préambule (deuxième, ce serait donc une sorte d’avant-propos dans le propos)
La correspondance publiée ici semble être née de la nécessité pour l’un et l’autre des amants (car on sait qu’ils furent amants) d'exprimer que les choses sont ce qu'on en fait, et que l’érotomanie peut-être une source prodigieuse de bienfaits.
Parfois, la violence des propos en ébranlera certains, en choquera quelques unes mais un amour ne peut être limité par des cachotteries intellectuelles ou pseudo-légales. Bien entendu Henri et Élisa Kubly existent, il n’est donc nul besoin ici de mentir comme des arracheurs de temps et d’imprimer l’avant-propos classique : Ceci est une œuvre de fiction agnia gnia agnia gnia .... bonne lecture bientôt .....

La crainte de susciter l'ennui chez le lecteur est aussi un point commun aux deux auteurs, qui vous demandent gentiment d’user de votre droit de réponse en imprimant vos remarques au verso du document avait écrit en prémisses Laid Iteur. L’auteur étant célibateur, point de cajoleries, si cela ne vous plaît pas, émilez de suite !
(henribelle@skynet.be)

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